Ah les mariages bretons…Cette lumière, ces paysages ! Je suis fan !
Adélie et Aymeric ont choisi le décor de rêve de l’île de Batz, pour se dire oui, le 7 septembre 2019.
C’était sous l’objectif de la talentueuse Amandine Ropars.
Je vous laisse avec eux et les précieuses confidences de la mariée.
Amélie
VOTRE HISTOIRE
Lors de notre rencontre, nous n’étions qu’adolescents. Ensemble nous avons découvert les joies du secourisme et du milieu associatif alors que nous passions nos brevets de nageurs-sauveteurs. Le 21 décembre 2010 a vu naître notre idylle. Il était 21h30, nous venions de finir l’entraînement lorsque je lui ai volé ce qui fut notre premier baiser.
Nous avons partagé les huit années suivantes entre plusieurs régions. Aymeric se réalisait en tant que pompier sur Paris alors que je m’attachais à l’accomplissement de mes études d’orthophonie sur Nantes et que nous profitions d’interruptions pour rejoindre nos proches à Saint-Malo.
LA DEMANDE EN MARIAGE
En septembre 2017, nous avons eu l’occasion de découvrir l’Islande et son immensité. Ce périple aurait pu se révéler comme le parfait décor d’une demande en mariage. Trop évident peut-être, ce n’est que quelques mois plus tard, qu’Aymeric privilégia le traditionnalisme à l’exotisme.
Le 21 décembre, à l’occasion de notre anniversaire de rencontre, il me proposa d’aller dîner dans l’une des belles adresses malouines. Après quoi, il prit l’initiative d’une promenade en bord de mer. Je le revois tremblant, mettre un genou à terre, sous une brise vivifiante ! Dans un écrin, il avait glissé ce qui devait être le saphir de ma mamie. L’intention était parfaite jusqu’à l’anecdote ultime : il s’était trompé dans le choix de la bague ! C’est donc entre deux larmes et un éclat de rire que je lui porta un grand “OUI”! Alors que des amis nous attendaient autour du champagne, j’appris que la veille il avait pris grand soin d’officialiser sa demande à mon papa.
INSPIRATIONS, DÉCO ET DIY
Pour nous, le mariage représentait l’occasion de marquer une pause. Il symbolisait notre premier grand saut. Neuf ans plus tôt nous avions lâché le bord, portés par l’insouciance de notre adolescence. Depuis, c’est d’un mouvement synchronisé que nous enchaînions les longueurs sans mesurer les distances parcourues. Cet événement incarnait donc la chance d’être perchés à quelques mètres, de se replonger dans les abysses de notre histoire pour mieux rêver la suite. L’engagement fut le fruit d’une formidable introspection alliant futile et profondeur.
→ Pour le choix du lieu, nous avions à cœur de dénicher un petit paradis qui puisse nous ressembler, qui ne soit pas vide de sens. Nous considérions ce paramètre comme la pièce maîtresse autour de laquelle nous allions broder l’événement. L’île de Batz s’est vite imposée comme notre destinée. Originaire de la région, j’y ait construit moult souvenirs. Aymeric eut l’occasion de m’y accompagner plusieurs fois et su se laisser charmer. Il y règne simplicité, douceur de vivre et exotisme.
→ Pour la décoration, nous avons cheminés autour de ce qui témoignait de notre amour tout en composant avec la dynamique de l’île. Le milieu aquatique et ses palettes de couleurs bleues, vertes, sable et or nous ont inspiré des moodboards. Les reliefs, le caractère insulaire du lieu, les dunes et la tapisserie tropicale de la salle ont pu nous suggérer l’usage de matériaux.
Pinterest, Instagram et différents blogs de mariages (dont celui-ci) furent nos meilleurs alliés dans les recherches. Il a fallu trier, entrecroiser les idées tout en ne perdant pas de vue la tournure logistique. Se marier sur une île rend d’autant plus complexe le transport matériel … Plus d’une fois, il a fallu revoir nos calculs et nos ambitions.
Voici quelques idées retenues :
→ Nos invités venant pour la plupart des quatre coins de la France, il était indispensable de pouvoir leur proposer une solution d’hébergement. Sur place, des chalets étaient à leur disposition. Nous les avions renommés par des chansons sur le thème de la mer. A l’arrivée sur l’île, chaque invité s’est vu remettre une étiquette bagage sur laquelle était inscrit son nom et le titre du logement attribué. L’anticipation de cette distribution nous a permis de fluidifier l’installation sans que chacun s’y éternise.
→ Nous tenions à investir l’église. C’était le point de rendez-vous que nous avions communiqué à nos proches. Elle incarnait le début des festivités. Nous souhaitions l’embellir sans la dénaturer. Son charme reposait sur sa sobriété, nous n’avons qu’accentué sa luminosité (pour faciliter le travail de la photographe et de la vidéaste notamment).
– Sur le parvis, deux rambardes ornaient l’entrée. Ma tante s’est chargée de les fleurir.
– Comme une invitation à prendre part à l’histoire, la marraine d’Aymeric avait réalisé une banderole de fanions sur laquelle nous pouvions lire : “ Il était une fois …”. Elle a utilisé du double gaze écru et des lettres thermocollantes dorées (trouvées chez Cultura). Les fanions étaient reliés entre eux par du passepoil et comprenaient un petit grelot à leur sommet.
– A l’intérieur de l’église, les bouts de banc se composaient de chatons et de fleurs séchées cueillies et assemblées par un ruban de gaze.
– Nous avions fait le choix de fauteuils transparents sous lesquels nous avions placé un tapis en fibres naturelles.
– Nos alliances étaient noués d’un ruban, dans des coquilles d’ormeaux en guise d’écrin.
– Pour essuyer les vagues d’amour qui nous ont submergées dès l’entrée dans l’église, nous avions fait broder des mouchoirs Cousu Paris qui nous furent bien utiles.
– Notre fleuriste avait conçu une superbe composition florale, placée devant l’autel. Quelques herbes de pampas dans les dames-jeannes vinrent parfaire l’ensemble.
– Enfin, pour la sortie, nos témoins avaient méticuleusement réalisés des confettis naturelles. Armés de perforatrices en forme de cœur et d’étoile, ils ont passé la veille quelques longues heures à découper du feuillage. Au-delà d’être écologique le rendu photographique avait quelque chose de magique.
→ Les moyens de locomotions étant restreints sur l’île, c’est à pieds que nous avons imaginé le cortège entre l’église et le lieu de réception. Nous souhaitions rouler en tandem avant d’objectiver les risques pris dans ma tenue. Le soleil et quelques musiciens de l’assemblée nous ont fait l’honneur d’un accompagnement sur-mesure. C’était un chouette moment au travers duquel chacun s’est imprégné du paysage.
→ Alors que la procession, menée par nos parents, arrivait par l’entrée du domaine, nous avons discrètement contourné le site par la plage. Cette échappée fut l’occasion de partager quelques clichés avec nos témoins avant l’ouverture du cocktail ! C’est au son d’Aretha Franklin, munis de fumigènes, que nous avons rejoins l’ensemble des invités.
→ Afin de ne pas nous éparpiller, d’éviter l’effet saupoudrage, nous avons uniquement investis la décoration de la terrasse et de la salle.
– Pour le cocktail nous avions disposés sur les mange-debout de petits vases dans lesquels nous avions pu glisser les bouts de banc récupérés à l’église.
– Pour donner un peu plus de cachet à la pièce, la marraine d’Aymeric avait réalisé l’un de nos caprices les plus chronophages : des nappes sur-mesure! Pour cela, nous avions acheté du tissu en double gaze vert à pois dorés au marché St Pierre.
– Sur chacune des tables était disposés une couronne de fleurs et trois bocaux Le Parfait de tailles différentes. Dans chacun d’eux nous avions mis du sable et des bougies (Ikea) pour une ambiance chaleureuse. Les numéros de table étaient présentés dans de petits cadres dorés trouvés chez Monoprix.
– Pour la convivialité que représentait l’idée d’afficher le menu en grand, nous avions peint une planche de surf en noir pour l’y inscrire au feutre effaçable. Le plan de table était présenté sur un porte-cartes à l’entrée.
→ Par le biais d’une bouteille à la mer, nous avions réunis nos témoins quelques mois avant l’événement. Nous tenions à symboliser leur regroupement autour d’une entité commune. A cette occasion, nous avons découvert les créations de “La Brigade de l’Amour” et ses valeurs. Chacun de nos témoins s’est vu remettre un tee-shirt avec pour clin d’œil au marié, le petit camion de pompier !
Nous leur avons régulièrement communiqué les informations pratiques (prestataires, déroulement, besoins techniques et répartition des missions … ) au travers d’un groupe Facebook créé pour l’occasion. Ils ont été plus que parfaits! Nous ne saurions les remercier pour l’énergie déployée et la ferveur qu’ils nous ont partagée. Sans eux, rien n’aurait pu se concrétiser. Ils ont confectionné l’ensemble des sablés offerts aux invités et nous ont également surpris par la création de gobelets personnalisés et destinés aux fontaines à boissons.
→ En terme d’animations nous avions pour leitmotiv de rester fidèles à ce que nous sommes. Nous ne souhaitions pas jouer un rôle. C’était la règle d’or partagée à nos proches. Ils ont su nous faire rêver au travers d’un flashmob, de vidéos ou encore d’un fil rouge à notre image.
– Autre initiative qui fait perdurer le plaisir : la distribution de cartes postales numérotées. Depuis septembre, l’une d’elle nous est envoyée chaque semaine (ou presque) par un invité. Il nous replonge dans les souvenirs de ce grand jour.
– De notre côté, nous avions rédigé un discours à l’attention de nos proches avant de nous adresser l’un à l’autre. Nous l’avions perçu comme l’occasion rêvée de mettre en mots ce que nous n’avions jamais pris soin de leur dire. L’exercice était périlleux, les mouchoirs de sortie mais les cœurs bien remplis !
– N’étant pas particulièrement danseurs nous n’aurions jamais su mener une choré endiablée. Pour suspendre l’instant, nous avons fait le choix d’ouvrir le bal en extérieur sous le crépitement des feux de Bengale. Nous avons adoré le vivre et c’est avec émotion que nous ré-écoutons le titre qui nous a bercé (Red and Black Light, d’Ibrahim Maalouf).
LE PLUS BEAU SOUVENIR
Il y a d’une part l’intensité éprouvée lors de notre découverte. Nous étions arrivés la veille sur l’île et avions fait le choix de dormir séparément. De la même façon, c’est chacun de notre côté, avec nos témoins respectifs, que nous avions vécu la matinée de préparatifs. Nous avions gardé secrètes nos tenues l’un pour l’autre. Bref, c’est autant de détails qui firent jaillir les artifices !
D’autre part, nous gardons précieusement la spontanéité de certains instants volés. Nous avions anticipé, réfléchis, planifié ce grand jour avec rigueur et minutie. Cela nous a permis de lâcher prise le jour J et de vivre avec détachement l’inattendu. Ces petits imprévus sont à seuls le charme de l’événement. Nous retiendrons cette arrivée en trombe à l’église, entassés dans le taxis comme l’un des souvenirs clé de cette journée.
LES BONS CONSEILS
→ L’industrie du mariage connaît un plein essor depuis quelques années. Les sources d’inspiration et les conseils sont démultipliés par l’émergence des réseaux sociaux. Il est plus que jamais possible d’envisager un mariage à son image.
De ce cheminement, nous retiendrons combien il est important de ne pas perdre de vue l’essence-même de cette union. Le dialogue et la confiance permettent d’asseoir des prises de position qui ne font pas toujours l’unanimité. Pour autant, s’y tenir et rester fidèle à sa conception de l’événement est ce qui nous a permis de le vivre en toute sincérité et de n’avoir aucun regret.
→ Se marier sur une île implique de l’anticipation et de la logistique. En Bretagne, les marées doivent être une contrainte à garder à l’esprit. Il faut pouvoir renseigner les invités sur l’organisation de la traversée, du logement ou des limites techniques une fois sur place (le déplacement des personnes à mobilité réduite ou l’absence de distributeurs bancaires … ). Ces précisions semblent futiles jusqu’à ce que l’on y soit confronté. De la même façon, il faut composer avec des prestataires en mesure d’acheminer le matériel (qu’il s’agisse du Dj ou du traiteur par exemple). Aussi, nous avons trouvé confortable d’avoir quelques personnes relais sur le continent à qui nous avions confié un double de nos clés. Elles ont pu nous faire parvenir les petits oublis de dernières minutes.
→ Quel bonheur que de faire durer le plaisir … ! La parenthèse a débuté par notre union civil le mercredi après-midi. Le jeudi nous aura permis de finaliser les bagages avant de rejoindre l’île le vendredi. Ce n’est que le samedi, pour la cérémonie que l’ensemble des invités a traversé. Le dimanche fut l’occasion de partager un brunch avec tous. Puis tranquillement, nous avons commencé le rangement. Le lundi matin, c’est des paillettes pleins les yeux que nous avons clôturé le chapitre avec le sentiment d’avoir intensément croqué l’instant.
→ S’ENTOURER. Les sensations ne sont décuplées que parce qu’elles sont partagées ! Rapidement, dans le cadre des préparatifs, nous avons mesuré combien nous souhaitions associer nos proches à ce projet de vie. De la conception à la concrétisation des idées, ils nous ont épaulés, soutenus et conseillés.
Le jour J, il est indispensable d’avoir l’esprit léger. Une fois encore, nous avons pu compter sur notre dream team.
En amont, nous avions établi le plan d’attaque de la journée (allant du ramassage des livrets de messe à l’allumage des feux de Bengales). Nous avions pris soin de répartir les missions auprès d’un maximum de monde afin que chacun puisse profiter sans crouler sous les responsabilités. Nous avons tenu à déléguer les moindres tâches, nous avons informé les acteurs avant de ne plus faire preuve de perspicacité. Distribuer les consignes par écrit a permis à chacun de s’y référer avec autonomie. Seul petit caillou dans la chaussure, un manque d’anticipation pour la préparation des enveloppes destinées aux derniers règlements des prestataires. Nous étions certains de pouvoir le faire la veille (erreur !). Partis dans l’euphorie, elles n’ont été finalisées que devant le fait accompli.
→ Les prestataires font partie intégrante du cercle rapproché. Ils vous accompagnent en toute intimité. Pour cela, il est extrêmement confortable de composer avec des professionnels qui se connaissent et s’ajustent les uns aux autres. Lorsque vous les rencontrez, n’hésitez pas à leur demander avec qui ils ont l’habitude de travailler. La dynamique n’en sera que meilleure !
→ Nous avions fait le choix de suggérer un dress-code à nos témoins. Une touche de doré pour les filles, des camaïeux de bleus pour les garçons. Nous leur avions offert les nœuds papillons, pochettes et boutons de manchettes pour parfaire les tenues. Il a fallu jongler habillement entre harmonisation et respect de leur singularité. Offrir une latitude a permis à chacun de ne pas se sentir déguisé. C’était quelque chose d’important à nos yeux.
→ Le choix des musiques semble anodin mais il a véritablement concouru à l’esquisse d’une atmosphère. Les morceaux ont accompagné les étapes clés (de l’église à l’ouverture de bal, en passant par le cocktail ou l’entrée dans la salle … ). Nous avions pris soin d’y réfléchir bien avant et d’affiner leur pertinence. En ce sens, nous tenions et recommandons la présence d’une chanteuse pour animer la cérémonie religieuse. Aurélie a su faire frissonner l’assemblée. Elle a sublimé de son brin de voix chacun des morceaux
LE BUDGET
Se marier implique de faire des choix. Nous n’avons pas fait le calcul du budget total mais deux principes nous animaient particulièrement :
→ Le fait de vivre pleinement cette parenthèse, entourés de ceux qui nous ont vu grandir dans notre vie à deux. Nous souhaitions leur partager une bulle d’authenticité en les remerciant ainsi de leur accompagnement.
– Pour cela nous avons dû limiter le nombre d’invités (nous étions 90) afin d’offrir à tous la traversée sur l’île et le confort d’un logement sur place. La privatisation du lieu représentait le plus gros poste.
– En parallèle, nous avons fait le choix de proposer un repas simple, sans prétention mais qui se voulait de qualité.
→ Le fait de pouvoir vivre et se remémorer tant que tant l’événement en nous entourant de professionnels de confiance.
– Ainsi la photographe (2500€), la vidéaste (1800€), le DJ (1800€) ou encore la chanteuse (450€) sont des prestataires qui nous sont parus important.
En complément, il faut ajouter un budget mise en scène comprenant la fleuriste et la décoration, ainsi que nos tenues et la mise en beauté.
LE VOYAGE DE NOCES
Nous avions pour projet de partir en Birmanie mais nos envies d’évasion se sont vues court-circuitées par la présence discrète mais certaine d’un passager surprise.
Si 2019 a su nous dévoiler ses charmes et son intensité, c’est avec beaucoup d’émotion que 2020 se présente comme une aspiration vers l’inconnu. En juillet prochain nous devrions découvrir à tâtons les méandres de la parentalité.
Tenant compte du petit habitant qui me redessinait les courbes, nous avions pris soin de reporter le périple. A la place, début avril, nous devions découvrir les joies d’une baby-moon sur Minorque. Ce petit joyau méditerranéen avait su retenir notre attention par son caractère insulaire. S’y rendre nous permettait de mêler habilement : sécurité, dépaysement, proximité et farniente ! … Mais c’était sans compter sur un ultime rebondissement : une crise sanitaire imposant la fermeture des frontières.
Aujourd’hui nous relativisons ce contre-temps et profitons de ces quelques lignes pour adresser nos plus tendres pensées aux mariés 2020 qui voient leurs projets bouleversés, à tous ces prestataires qui composent et redoublent d’ingéniosité pour faire entrer les carrés dans des ronds. Soyez certains que les festivités à venir ne seront que plus heureuses !
→ Photographe : Amandine Ropars fut un coup de cœur artistique et sympathique. Elle fut une véritable partenaire, une alliée dans la conception du projet. Elle a pu nous éclairer de son expérience et su nous émouvoir par son talent. Elle est venue accompagnée de Manon Douard, photographe en herbe, que nous remercions elle aussi.
→ Vidéaste : Derrière « Les Petites Fées du Mariage » se cache Juliette. Au travers de la vidéo elle a pu nous proposer une perception précieuse et complémentaire de ce grand jour. Elle est venue parfaire notre boîte à souvenirs en nous permettant de revivre et découvrir des scènes qui nous avaient échappés. Nous avions fait le choix d’opter pour une formule comprenant un clip et une version longue (+ l’intégralité des discours et de la cérémonie).
→ Wedding planner ? : Nous avons eu l’occasion d’échanger avec plusieurs wedding planner. Nous saluons mille fois leur talent et la qualité de ce qu’elles peuvent proposer. Ayant pris goût aux longues soirées de recherches, malgré l’investissement-temps que nécessitent les préparatifs, nous avons fait le choix (et pris le risque) d’être seuls maîtres du scénario. Nous avons pu compter sur notre équipe technique : nos proches et leur énergie sans faille !
→ Lieu de réception : Le domaine Rêves de Mer à l’île de Batz.
→ Traiteur : Il était dépendant du lieu de réception. Avec lui nous avons réfléchis des plats simples faits de produits bruts et locaux. Nous les remercions pour leur gentillesse et leur accessibilité. Le dessert venait de la Pâtisserie Traon, à Morlaix.
→ Fleuriste : Folie Douce Flower Marie a su faire preuve d’écoute et d’intérêt pour notre projet. Elle a véritablement participé à la mise en scène de ce que nous avions rêvé. Elle a su s’adapter à nos contraintes techniques, elle a su nous guider et orienter nos choix. Nous la remercions infiniment pour la qualité de son travail. Alors que je craignais d’être embarrassée par le port d’un bouquet, il s’est finalement imposé comme le prolongement de ma tenue.
→ DJ : Collectif Mangabey C’est en deux temps que s’est construite la prestation. Alexandre a su recueillir nos envies, nos goûts musicaux et nos contraintes. Il a su appuyer et soutenir notre intérêt pour la mise en lumière. Un petit plus qui a vraiment fait la différence dans l’esthétique de la soirée ! Puis, c’est avec Nicolas que nous avons peaufiné le projet. C’est lui qui a su faire danser les plus motivés jusqu’au petit jour. Nous les remercions chaleureusement pour leur disponibilité, leur efficacité et leur discrétion.
→ Chanteuse : Aurélie Mingot Elle a fait l’unanimité ! Encore aujourd’hui, beaucoup de nos proches soulignent la qualité de sa prestation. Elle a su nous suivre dans ce pari un peu fou d’un mariage sur une île, dans un lieu spartiate avec toute l’adaptation que cela pouvait induire d’un point de vue technique et logistique. Merci, merci, merci !
→ Maquillage et coiffure : Elodie Struillou nous a rejoint la veille au soir. C’est dès l’aube qu’elle s’est attelée à la réalisation des coiffures et maquillages de nos témoins, de nos mamans puis du mien. Elle a pleinement trouvé sa place dans les préparatifs, elle a su essuyer les premières émotions d’un maquillage on ne peut plus waterproof … Chacune d’entre nous a pu se sentir sublimée entre ses doigts de fée. Une vraie pépite qui ne peut qu’être recommandée !
→ Papeterie : – Amoureux de ses belles cartes postales, nous avions demandé à Caroline, créatrice de la marque Cinq Mai, de réaliser nos faire-parts.
Nous avons également utilisé ses cartes chiffrés aux teintes bleutées pour réaliser le plan de table.
– Chez Promesse Graphique nous avions commandé un tampon en bois personnalisé. Nous l’avons apposé comme un logo sur les enveloppes du faire-part, les étiquettes bagages et autres supports papiers.
→ Robe de mariée et accessoires :
– Nuisette et Kimono portés lors des préparatifs : Oysho
– Robe de mariée composée d’un haut et d’une jupe réalisée sur-mesure par Maryse Lebreton. L’atelier de cette couturière se trouve près de Nantes, à Sautron.
J’avais choisi de la réaliser en crêpe lourd, acheté chez Stragier. Pour clin d’œil à notre date de rencontre, Maryse avait pris soin d’orner la tenue de 21 boutons.
– Le canotier venait de chez Victoire Vermeulen alors que les escarpins à paillettes dorés venaient de chez Patricia Blanchet.
→ Costume et accessoires :
– Costume sur-mesure réalisé chez Faubourg Saint-Sulpice.
– Mocassins : Bobbies
– Nœuds papillon et pochettes (du marié, de ses témoins et de nos papas) : Le Colonel Moutarde
– Boutons de manchette (du marié et de ses témoins) : Bowtify
– Alliances : Myrtille Beck
– Mouchoirs brodés personnalisés (nous y avions inscrit « Negligevapse » qui veut dire « Je t’aime » en inuit) : Cousu Paris
– Emporte-Pièce personnalisé, modèle Petit Lu : Print Your Love
– Tee-shirt offerts à nos témoins : La Brigade de l’amour
*
Merci à vous deux pour le partage, je vous souhaite tous mes vœux de bonheur.
10 Comments
Magnifique tenue, beaucoup de style avec le chapeau de la mariée! Et bien évidemment sublime décor, moi qui suis bretonne, ça donne des idées…
What a beautiful couple. I really love the concept and scenery of your wedding.
You’re wedding looks beautiful and fun at the same time.
Amazing photos! I love the filters used and the angles/composition. It really captured the moment!
Great photos! The photographer did a really good job. The decor was excellent!
bonjour,
j’ai un mariage prévu sur l’ile de Batz , en septembre, et aimerais entrer en contact avec la mariée afin d ‘avoir quelques informations ,
est ce possible de me mettre en relation avec elle ?
Aurelie
This is a special moment. I appreciate you sharing this with us all. Thank you!
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